À l'Assemblée

En tant que rapporteur spécial sur les crédits consacrés à l’agriculture, la forêt, les affaires rurales et la pêche, je mène avec ma collègue Emilie CARIOU, Députée de la Meuse, une évaluation des politiques publiques menées dans ces domaines.
Nous nous sommes ainsi déplacés à Orléans pour auditionner l’Agence de l’eau Loire-Bretagne. Cette rencontre nous a permis d’évaluer le montant et la pertinence des aides consacrées à l’agence de l’eau à l’agriculture.
Au cours de cette journée, nous avons également eu l’occasion d’échanger avec la DRAAF et de la DREAL du Centre-Val de Loire ainsi que des élus du Conseil régional du Centre-Val de Loire.

Nous avons auditionné en commission des finances Laurence BOONE, Chef énonomiste à l'OCDE. L'occasion pour moi de lui poser une question sur l'avenir de la filière pêche dans le cadre du Brexit.

"Vous semblez plus optimiste que les pêcheurs français qui ont peur d’un Brexit dur. Vous savez toutes les conséquences que ça pourrait avoir pour les ressources et sur la remise en cause des accords de pêche entre les pays européens. C’est aussi toutes les conséquences liées aux ralentissements transmanche, aux problèmes douaniers qui pourraient se poser et peut-être à une certaine dérivation des transports de poissons non plus vers Boulogne et Calais mais vers Rotterdam.

Cette loi vise à préserver la liberté de manifester, en garantissant à ceux qui souhaitent manifester pacifiquement de pouvoir le faire dans de bonnes conditions.
Nous avons été et serons vigilants sur le sujet des libertés publiques. Le travail du Parlement en témoigne. En séance publique, nous avons précisé les modalités de l’interdiction administrative de manifester. La mesure ne sera applicable qu’aux personnes qui constituent une menace d’une particulière gravité pour l’ordre public du fait de leurs agissements dans le cadre de précédentes manifestations.

Nous avons demandé la création d’une mission d’information sur les usages « bien-être » du cannabis à l’Assemblée Nationale et cette initiative est soutenue par d’autres parlementaires.

Le périmètre de cette mission d’information serait restreint aux produits issus du chanvre « bien-être ». Ces produits n’ont pas vocation à être prescrits dans un cadre thérapeutique.

Le 7 février, j’ai interrogé Didier GUILLAUME, Ministre de l’agriculture et de l’alimentation, sur la réduction des produits phytopharmaceutiques (CEPP).


« Monsieur le Ministre,
Les certificats d’économie de produits phytopharmaceutiques, instaurés par la loi d’avenir pour l’agriculture, l’alimentation et la forêt du 13 octobre 2014, sont un dispositif créé pour réduire l’utilisation des produits phytopharmaceutiques. Ce dispositif soumet à des obligations les distributeurs qui vendent de tels produits à des professionnels. Ils doivent inciter et réaliser des actions d’économie de produits phytopharmaceutiques. En cas de non-respect de ces obligations à l’échéance du 31 décembre 2021, une pénalité forfaitaire par unité de compte manquante sera infligée aux distributeurs concernés.

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