Dès juillet 2017, les États généraux de l’Alimentation ont acté la nécessité d’agir concrètement pour une meilleure rémunération des agriculteurs français. Ce travail a été lancé avec loi Egalim en 2018. Elle a permis d’entamer la « marche en avant du prix » c’est-à-dire une meilleure prise en compte des coûts de production agricole dans la formation des prix d’achats aux agriculteurs.
La loi Egalim 2 introduit de nouveaux dispositifs de régulation et de transparence au profit d’une meilleure rémunération des agriculteurs français dont notamment :